FRANCE CULTURE "une vie, une oeuvre" Théodore MONOD

Théodore MONOD
Théodore MONOD

DromaCity rend un hommage particulier à l'un des plus grands sahariens du 20ème siècle, Théodore MONOD et à son oeuvre littéraire. Ichtyologue, botaniste, géologue, zoologiste, ethnologue à la curiosité inassouvie mais aussi écrivain, humaniste, il a partagé avec nous sa passion des peuples nomades et du désert à travers ses ouvrages et ses nombreux témoignages. Penseur, philosophe, écologiste et militant anti nucléaire d'avant garde, il a toujours défendu le vivant en dénonçant l'imprévoyance et la cruauté de l'homme vis à vis de ses semblables et de la nature.

Bruno DOUCEY, écrivain poète et Zaü grand nom de l'illustration jeunesse racontent Théodore MONOD

Théodore MONOD raconté aux enfants par Bruno DOUCEY et Zaü.

http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-theodore-monod-1902-2000-2014-06-21
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http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-theodore-monod-1902-2000-2014-06-21 par Françoise Estèbe Réalisation : Lionel Quantin Avec : Jean-Marc Durou , photographe, historien du désert Isabelle Jarry, biologiste, écrivain Ambroise Monod, théologien, sculpteur Jean-Claude Nouet , professeur à la Faculté de Médecine de la Salpétrière, cocréateur de la L.F.D.A. Fondation des Droits de l'AnimalPhilippe Taquet, paléontologue, président de l'Académie des Sciences

THEODORE MONOD

1935 Ouest Saharien
1935 Ouest Saharien

Biographie et informations

Nationalité : France
Né(e) à : Rouen , le 09/04/1902
Mort(e) à : Versailles , le 22/11/2000

 

Biographie :

- Théodore André Monod est un scientifique naturaliste, explorateur, érudit et humaniste français. Il est « le grand spécialiste français des déserts », « l'un des plus grands spécialistes du Sahara au XXe siècle » et « bon nombre de ses 1 200 publications sont considérées comme des œuvres de référence. »
- Théodore est le troisième fils de Wilfred Monod, pasteur et théologien protestant dont l'influence spirituelle a beaucoup joué sur son fils.
- Il entre au Muséum d'histoire naturelle dès 1922 puis y soutient sa thèse en 1926. Il découvre le continent africain grâce à deux missions de recherche, puis parcourt le Sahara occidental pendant plus d'un an : le zoologiste devient géologue, botaniste, archéologue, préhistorien...
- En 1930, son service militaire le mène au Sahara algérien : ses recherches sont définitivement orientées vers une région du monde dont il est devenu un éminent spécialiste. Désormais, les voyages se succèdent.
- En 1938, Monod est affecté à Dakar pour créer un institut de recherche. Sous son impulsion, l'Institut français d'Afrique noire devient un très grand centre scientifique. De 1953 à 1964, il parcourt 5200 km à pied et à dos de chameau à travers le Sahara occidental.
- Il poursuit aussi ses recherches sur la faune marine : il est nommé directeur du laboratoire des pêches d'outre-mer au Muséum en 1942 puis élu à l'Académie des sciences en 1963.
- Considéré par ses pairs comme un des meilleurs spécialistes de poissons et de crustacés, Monod était aussi un écologiste chrétien antimilitariste et engagé. Il s'éteint à 98 ans. 
source bibliomonde.com

L'exploration du désert Libyque par André Paul HESSE

C'est entre 1900 et 1940 qu'eurent lieu les plus grandes découvertes dans le désert Libyque. Dans un intervalle de quarante années, toute une région, quasiment en blanc sur les cartes ou mal positionnée, fut cartographiée, après avoir été parcourue par des explorateurs, des cartographes professionnels, des scientifiques et des aventuriers. 

Certains s'aventureront à pied, d'autres, après la Première Guerre mondiale et l'introduction du véhicule, profiteront de la mécanique pour franchir des distances quasiment impossibles à traverser avec des chameaux dans ce désert super aride. 

Nous vivrons la passion d'un Prince -Kemal el-Dine, d'un grand administrateur égyptien -Hassanein Bey, d'une écrivaine reconnue -Rosita Forbes, de cartographes explorateurs tels que Harding-King, Beadnell et John Ball sans oublier le plus grand, Patrick Clayton, à qui l'on doit la découverte du verre libyque, fin 1932. 

Des militaires britanniques seront responsables, à titre individuel, d'explorations majeures et passionnantes. Citons les plus grands: Ralph Bagnold, Guy Prendergast et William Kennedy Shaw qui en 1940 formeront avec Patrick Clayton le Long Range Desert Group.

N'oublions pas: Laszlo Almasy, le Hongrois qui montrera le désert Libyque à Leo Frobenius et Hans Rhotert et auquel revient la découverte de la grotte des Nageurs en bordure du Gilf Kebir, ni le couple 'maudit' Sir Robert et Lady Clayton East Clayton ainsi que les Italiens, le Major Rolle et le Major Lorenzini surnommé “Le Lion du Sahara”.

Tous de très grands sahariens qui vécurent leur passion et la partagèrent avec générosité.

L'auteur Jean-Loïc Le Quellec, Docteur en Ethnologie - Anthropologie - Préhistoire, est expert international en art rupestre, et à ce titre il sillonne les déserts depuis une vingtaine d'années, effectuant des missions pour des organismes comme l'UNESCO. Il est l'auteur d'environ 200 articles publiés dans des revues spécialisées, et a publié une quinzaine de livres, dont en dernier lieu l'ABCdaire des Déserts (1997), Préhistoire et art rupestre au Sahara (1998) et Tableaux du Sahara (2000). Egalement vice-président de la Société de Mythologie Française, il a publié un Dictionnaire de zoologie mythique (1995).

Habiter au désert, voilà qui semble paradoxal, puisque c'est, par définition, un lieu que la vie abandonne. Et pourtant, là, vivent depuis toujours des gens qui ont su, avec ingéniosité, tirer parti des matériaux localement disponibles pour se construire des maisons de types variés, et s'y abriter d'un climat inamical. Au désert, les contraintes sont maximales : soleil agressif, vents de sable et, rarement mais terriblement, pluies subites et diluviennes, voilà pour l'environnement. Pierres sèches, palmiers, acacias et cyprès, cuir et terre, voilà pour les matières premières. Autant dire que dans ces conditions, les choix architecturaux paraissent a priori des plus limités ! Dès lors, la variété des habitations, leur adaptation aux modes de vie nomade ou sédentaire, leurs formes angulaires ou arrondies, leurs fonctions, leurs décors, tout montre que même en l'un des endroits du monde où la nature paraît la plus forte, c'est, finalement, la culture qui commande. Ce livre en apportera la preuve, en présentant la diversité des habitations du plus grand désert du monde, des maisons en pierres sèches du Sud-Mauritanien aux tentes targuies du Sahara central, de la zrîba tobboue à la khîma bédouine, et l'on y suivra les ruelles obscures qui sillonnent les villes caravanières, pour aller longer les murets ceinturant les jardins des oasis - ces répliques du paradis. Au-delà du monde oasien, on découvrira également l'habitat des Sahariens, adapté au milieu aride, celui des Touaregs, des Maures, des Kababishs, des Toubous.

Patrick Chatelier : Sahara, un livre d'images mais pas que ...

"Un voyageur, autant qu'un photographe. Mais un voyageur patient qui prend le temps de ses clichés... et celui de les livrer. Quinze années lui auront été nécessaires avant de faire ce premier livre. Patrick Chatelier aime que les choses prennent leur place. Et le désert lui convient bien. Ses images ne doivent donc rien au hasard. Elles cultivent une telle précision, une telle perfection de la lumière, de la saison, que l'on devine toute l'attente nécessaire. Toute la patience de l'obturateur. Tellement parfait... que vous sentez aussi le terme de l'expérience, au-delà de laquelle le photographe va lever d'autres voiles. On attend le second ouvrage. Que cette aventure d'images continue !"  DésertsMag


desert-sahara.fr

http://issuu.com/patrickchatelier/docs/impressions-sahariennes?e=0/11799646


Les Trois Bergers de michel barbaza

Du conte perdu au mythe retrouvé. Pour une anthropologie de l’art rupestre saharien
Auteur : Michel BARBAZA
Préface de Jean Guilaine, membre de l’Institut
N° ISBN : 978-2-8107-0335-7
PRIX : 35.00 €
Format et nombre de pages : 24 x 21 cm - 270 p.

Le Sahara central constitue par la qualité et l’abondance de son art rupestre un véritable conservatoire à ciel ouvert où sont rassemblés d’extraordinaires témoignages de la vie des bergers néolithiques. Comment comprendre et interpréter cet art des rochers ? Pourquoi des images ? Pourquoi les représentations du Bovidien (VIe-IIIe millénaire avant notre ère), qui éclairent la vie quotidienne des populations du Néolithique saharien de leur réalisme surprenant, succèdent-elles à des images schématiques et empreintes de mystère, exprimant les inquiétudes existentielles des sociétés « Têtes Rondes » confrontées à un monde en mutation ?

En parcourant à rebours le chemin de la connaissance et en remontant l’ordre des choses à partir de la paroi ornée, l’archéologue tente de parvenir à la formation du mythe et d’en comprendre, au travers de sa structure, la nature profonde, c’est-à-dire son essence, qui le justifie et qui est aussi l’explication fondamentale de l’art rupestre.

En distinguant le mythe, trouble de l’inconscient collectif, des récits mythologiques qu’il engendre, l’auteur fait émerger par touches successives la raison de ces étonnantes compositions. En faisant converger les méthodes de l’archéologie préhistorique, de l’histoire de l’art et de l’anthropologie sociale et culturelle, il illustre les principes d’étude d’une anthropologie de l’art rupestre. Enfin, en confrontant les résultats de ces disciplines aux données de l’écologie préhistorique saharienne, il fait apparaître les possibles causes de tension et de conflit entre les groupes de pasteurs nomades.

Avant que l’aridité et la désertification ne favorisent l’avènement d’une société protohistorique de marchands et de guerriers, les gens du Bovidien ont mis en place les conditions permettant l’instauration et le maintien d’une grande civilisation pastorale. Si les récits qui en expriment l’essence sont à jamais perdus, le mythe qui les a générés transparaît quant à lui peu à peu.

Michel Barbaza est professeur d’archéologie préhistorique à l’université Toulouse – Jean Jaurès. Ancien directeur de l’équipe de recherche TRACES (UMR 5608), il poursuit désormais ses travaux dans le cadre de cette institution, au sein de l’équipe du Centre de recherche et d’étude pour l’art préhistorique – Émile Cartailhac et du Pôle Afrique.

Année : 2015 

Tanin, la fille des sables à Tombouctou par fadimata aly alansary

  • Fadimata la femme de coeur de Tombouctou

    Fadimata nous dévoile ses souvenirs, ses chagrins, ses joies, les souffrances de son peuple. Malgré la douleur que l'on devine en filigrane, ses mots sont toujours emprunts de pudeur, de tendresse...

Le Henné !

La femme bleue. Maguy Vautier. La plus belle histoire d'amour.

MAGUY VAUTIER

La femme bleue
La femme bleue

" Amérolquis, le héros des légendes touarègues, avait inventé les caractères de l'alphabet pour en faire une sorte de jeu d'amour, le code secret des amoureux. La première lettre que je retins fut le cercle de la lettre " R ", le rond que trace un garçon dans la paume d'une jeune fille pour lui avouer qu'il l'aime. " Deux chants d'amour, parallèles, à cinquante ans de distance, donnent dans un raccourci impressionnant la mesure des bouleversements qui ont emporté le peuple touarègue. 

 

Légende de Moussa et Dassine

"Et dans le désert de mon coeur, qui agrandit le désert du sable,
le silence ajoute un voile sur mon voile, avec ses mains d'air et de sable.
Le silence ajoute un cri à tous les cris, avec sa bouche d'air et de sable.
Le silence ajoute une image à toutes les images, avec ses yeux d'air et de sable.
Et sous mes deux voiles, je vis deux fois pour t'entendre et pour te voir,
Ô Dassine, toi que je ne voulais plus nommer, et que je nomme sans cesse à chaque battement de mon coeur."

"Celui qui ne connaît pas le silence du désert,ne sait pas ce que c'est le silence..."

                                                                          Proverbe Targui

Grande poétesse, de son vrai nom DASSINE OULT YEMMA,

Dassine était une musicienne et  poétesse targuie considérée comme  “Grande  Sultane du désert” et “Grande Sultane d'Amour” car elle était messagère de paix entre les touareg dissidents .

Elle était contemporaine de Charles de Foucauld qui parle d'elle comme d'une très belle femme:
"Dans tout l'Ahaggar, il n'y a pas de femme qui surpasse Dâssin. C'est une grande femme, elle a le teint clair, légèrement brun. Son visage est beau. Ses yeux sont magnifiques : ils sont expressifs et rieurs. Elle a les dents blanches et brillantes. Sa démarche est élégante. Elle sait bien jouer du violon. Elle a une conversation agréable. Elle est d'une grande intelligence. Rares, ou même inexistants, sont les hommes qui ont autant d'esprit que Dâssin dans l'Ahaggar." 

 

Dans le poème qui suit, elle décrit notre écriture, celle des arabes et particulièrement l’écriture tamacheq des touareg, les tifinaghs. Ce poème  fait rêver et touche profondément par sa simplicité et sa profonde humanité 

 

« Tu écris ce que tu vois et ce que tu écoutes avec de toutes petites lettres serrées, serrées, serrées comme des fourmis, et qui vont de ton cœur à ta droite d'honneur.

 Les arabes, eux ont des lettres qui se couchent, se mettent à genoux et se dressent toutes droites, pareilles à des lances : c'est une écriture qui s'enroule et se déplie comme le mirage, qui est savante comme le temps et fière comme le combat. Et leur écriture part de leur droite d'honneur pour arriver à leur gauche, parce que tout finit là : au cœur.

 

 Notre écriture à nous, au Hoggar, est une écriture de nomades parce qu'elle est toute en bâtons qui sont les jambes de tous les troupeaux : jambes d'hommes, jambes de méhara, de zébus, de gazelles : tout ce qui parcourt le désert. Et puis les croix disent que tu vas à droite ou à gauche, et les points – tu vois, il y a beaucoup de points – ce sont les étoiles pour nous conduire la nuit, parce que nous les Sahariens, on ne connaît que la route qui a pour guides, tour à tour, le soleil et puis les étoiles. Et nous partons de notre cœur et nous tournons autour de lui en cercles de plus en plus grands, pour enlacer les autres cœurs dans un cercle de vie, comme l'horizon autour de ton troupeau et de toi-même. »

 

Ce poème de Dassine est tiré de “La Femme Bleue” de Maguy Vautier.

 

Conrad Kilian
1898-1950
Géologue, explorateur, savant aventurier 

" Explorateur souverain " Kilian est d’une autre époque. Il parcourra le Sahara en tous sens affublé d’un écuyer mais ses exploits sont incontestables et ses découvertes, convoitées par des puissances étrangères, sont peut-être à l'origine de sa mort mystérieuse dans une chambre d'hôtel à Grenoble le 30 avril 1950 et dans l'indifférence générale. Il laisse son nom à un erg aux confins du Hoggar.

Hélène CLAUDOT-HAWAD

Hélène CLAUDOT-HAWAD
Hélène CLAUDOT-HAWAD

Par la richesse et la diversité de ses études, ce livre questionne avec beaucoup de pertinence et de profondeur les conditions de production d’un domaine spécialisé (les « Études berbères »), la fabrication de ses objets et de ses principes théoriques.

CONRAD KILIAN

ODETTE DU PUIGAUDEAU

Biographie et informations

Nationalité : France
Né(e) à : Saint-Nazaire , le 20/07/1894
Mort(e) à : Rabat,Maroc , le 19/07/1991

 

Biographie :

Née dans une famille d'armateur, Odette Loyen du Puigaudeau est la fille de deux artistes, Ferdinand du Puigaudeau, peintre de l'école de Pont-Aven et Henriette Van den Broucke, portraitiste.

Elle a grandi au Croizic et en 1920 se rend à Paris pour suivre des cours d'océanographie à la Sorbonne. Elle est aussi dessinatrice et même styliste chez Jeanne Lanvin. Taraudée par l'idée de partir, elle participe à des campagnes de pêche sur des tonniers bretons, comme journaliste.

En 1934, Odette du Puigaudeau s'embarque pour la Mauritanie qu'elle découvre à dos de chameau avec son amie Marion Sénones (1886-1977), l'artiste peintre.

Jusqu'en 1960, toutes deux parcourent la Mauritanie à la rencontre des Maures, de leur vie et de leur histoire. Elles sont chargées de différentes mission ethnographiques ou archéologiques dans cette partie occidentale du Sahara. Elles suivent notamment les caravanes ralliant Tombouctou.

Elle s'établit à Rabat en 1961, où elle réalisa pour la radio des émissions culturelles de 1961 à 1962, devint documentaliste au ministère de l'Information en 1963, et chef du bureau de préhistoire au Musée des antiquités de Rabat de 1970 à 1977. Elle eut pour compagne Marion Sénones, qui partagea sa vie de 1932 jusqu'à son décès à Rabat en octobre 1977.

Odette du Puigaudeau écrivit huit livres, d'innombrables articles et un traité d'ethnologie sur le peuple maure. 
source bibliomonde.com

 

Le dromadaire pédagogique
Launois M., Laveissière G., Faye B., Kriska M. A.
©Cirad, 2002
Texte en français
ISBN : 2-87614-528-6
ISSN : 1620-0705
Cette compilation pédagogique des connaissances scientifiques, techniques et praticiennes sur le dromadaire dans tous ses états prend la forme d'un livre cédéromisé, le compilivre®. Pour cette occasion, le vétérinaire, l'éleveur traditionnel et les méharistes ont su mettre en partage leurs savoirs pour aller vers celui qui ne sait pas encore, autour des trois verres de thé. C'est ainsi qu'ont été formulés 300 grains de savoirs regroupés par des liens en 46 thèmes, illustrés par 57 dessins et 5 cartes, et répartis sur un itinéraire de papier de plus de 12 mètres, entièrement dédié au dromadaire en situation de vie ordinaire et extraordinaire.

Pictorial Guide to Traditional Management, Husbandry and Diseases of the One-Humped Camel (au prix de 35 euros)
Maurizio Dioli, 2007.
Maurizio Dioli dont on connaît le travail depuis la parution de l’ouvrage richement illustré sur le dromadaire en Afrique de l’Est vient de publier un CD-rom sous forme d’un guide photographique complétant fort bien le livre. Le Cd comprend plus de 1000 illustrations légendées donnant en détail des informations sur les races, la conformation, la reproduction, la zootechnie, les pratiques d’élevage, les maladies, l’abattage et les examens post-mortem. Il s’agit d’une contribution importante pour les camélologues en herbe et même confirmés.